Chronique lapidaire…

Vite dit.

Parfois, l’envie de torcher la chronique d’un disque est pressante. Alors aujourd’hui, je vais faire très fort et vous chroniquer plusieurs disques…

  • The Charlie Daniels Band / A décade of hits… Déjà le verso de la pochette aurait du me titiller. Des bons gars, bien campés sur leurs jambes, et en uniforme de cowboy country, chapeau inclus, ça craint. Pourtant, Charlie Daniels a joué avec Dylan, mais en même temps, c’est un pilier du Nashville Country… Bref, le disque a tourné sur ma platine le temps d’un titre, avant d’aller rejoindre la caisse des trouvouilles à refourguer… Crin, crin et violon ça démarre mal, et ça ne fini même pas.
  • Willie Neslon / Yesterday Wine… D’accord, le style cowboy frappe encore. Mais Willie Nelson, c’est quand même une pointure. Et là encore, il faut lire le verso de la pochette. Je n’ai pas lu, j’aurais du… In God’s Eyes, Family Bible, Remember the Good Time… Le peu que j’ai pu tenir, c’est à dire le medley (déjà un medley, ça craint un max) du début de la face A et le titre In God’s Eyes sont chiants comme la mort… Et je n’ai pas envie de mourir… Bref, suis pas allé plus loin, est-ce un tord ? Je sais que Willie Nelson a fait mieux, mais pas ce disque…
  • Rod McKuen / Cycles… Ça aurait pu être bien, mais… Ça débute par une chanson folk un peu sucrée, et puis ça enchaîne sur une poésie déclamée sur un ton monocorde… La suite ? Peux pas vous dire, j’ai tout stoppé là… Bref, vais-je lui redonner une nouvelle chance ? Peux pas vous dire, j’ai encore d’autres disques à écouter avant…

Lapidaire chroniqueBon, j’ai quand même écouté quelques bons disques, mais ils ne seront pas dans cette chronique lapidaire. Et demain dimanche, j’espère revenir avec d’autres disques, des pépites, des merveilles et hélas des trouvouilles aussi…

 

 

2 commentaires sur “Chronique lapidaire…

  1. Trouvouilles : le terme est joli, je trouve !
    L’écoute de ce jour semble assez décevante… On ne peut pas gagner à tous les coups… Et je pense que dans ta démarche, le plaisir de la manipulation de l’objet est important également, non ?

    1. Non, on ne gagne pas tout le temps. Il n’y a pas que le plaisir de la manipulation de l’objet, il y a aussi le plaisir de la découverte, d’oser sortir des sentiers battus. Comme quand je découvre un disque de Jazz éthiopien par exemple. Et ça c’est ce qui fait le sel des sorties dominicales… Mais bon, ça ne marche pas toujours…

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