Récolte dominicale de disques

la récolte musicale du 13 mars 2016, 3 disques

Juste un article pour meubler le dimanche, avec une maigre récolte de disques en vide-greniers. J’ai du parcourir 4 vide-greniers et un paquet de kilomètres pour 3 galettes. Et pour tout dire, rien de bien excitant, rien de bien bandant musicalement. J’ai même fait dans le thème chansons à textes et à contestation. Un pur hasard. Donc de gauche à droite :

  • Chansons politiques d’aujourd’hui : un petit coup de nostalgie avec cet album datant de MARS MILLE NEUF CENT SOIXANTE SEIZE (c’est marqué comme ça au verso de la pochette) avec des artistes bien de cette époque comme François Béranger, Michel Bühler, Imago, Gilles Servat, et Gilles Vigneault. Ça va faire remonter quelques souvenirs d’une époque ou il y avait des idées, une époque ou l’on pouvait croire qu’il était possible de changer le monde. 40 ans plus tard, on ne chante plus, on déchante…
  • Yvan Dautin : album en public, enregistré en 1971. Ça oscille entre chansons à texte style cabaret, voire chansonnier, et balade folk/pop sympathiques. Mais pour être honnête le côté chansons à textes un peu «humoristiques», ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. Verdict : plaisant mais sans plus.
  • Le Chant profond de l’Amérique Latine : comme le titre l’indique, chants révolutionnaires d’Amérique Latine, avec quelques titres assez connus. Bon, j’aime bien quelqu’un comme Victor Jara ; pour son chant et pour son histoire, destin tragique. Alors pourquoi pas.

Comme vous pouvez donc le constater, une récolte tout à fait thématique, totalement involontairement. Il faut dire que je n’ai pas vu grand chose de passionnant dans les quelques bacs de disques que j’ai pu fouiller. Il y a bien eu ce bac avec quelques albums pop rock intéressants mais déjà vus, et à 8 ou 10 € le disque, rien qui vaille la peine de dépenser autant pour un disque.
Je ne sais pas encore ce que donnera la sortie dominicale de la semaine prochaine, on a toujours l’espoir, quand on chine comme moi de tomber sur le carton de disques miraculeux.

Et demain, c’est lundi, je déteste les lundis.