Pas de pochettes mais des disques !
Il faut toujours regarder les disques sans pochettes, même ceux qui traînent au fond des cartons. Bon, il faut aussi faire attention à l’état de la galette bien sur ! Et ce matin, pas de pochettes mais des disques intéressants. Ça commence avec deux albums des Rolling Stones, Black and Blue et Flowers. Pour le second, j’avais déjà le disque, mais totalement rincé. J’ai donc juste extirpé le disque rincé de sa pochette pour le remplacer par le petit nouveau. Ça donne un mélange original quand même. La pochette de Flowers est d’origine espagnole et la nouvelle galette est orpheline de la collection L’âge d’Or des Rolling Stones. Mais l’ensemble va bien ! ;-). Et pour le Black and Blue, ben, il devra se passer de pochette officielle, et je vais m’en construire une, enfin, on verra bien. Sinon, l’autre disque sans pochette, c’est un album des Jackson Five, vous savez, quand Michael Jackson était jeune et pas blanc. L’album s’appelle Get it together, la pochette hélas n’était pas dans le carton. D’autant qu’il semble que celle-ci, vue sur le net, soit fragile – découpe particulière. Bon, je ne pense pas trouver cette pochette un jour, alors, une fabrication artisanale prévue… Mais en son temps ! C’est donc tout pour aujourd’hui ! Me reste à juste ajouter en passant le disque des Sparks – Propaganda pour compléter la récolte de ce matin. Et pour la modique somme totale de 2,50€. Allez, à dimanche prochain pour les vide-greniers !
« L’âge d’or des Rolling Stones » : très honnêtement, je crois qu’il s’agit des pressages -Decca France- les plus pourris que l’on puisse trouver, l’avantage résidait justement dans les pochettes des disques de cette collection, très bien documentées, avec textes rares de Dominique Tarlé, notamment, et jolies photos.
Le principal intérêt de « Black and blue » réside également dans sa pochette, qui dresse un -laid- portrait panoramique du groupe lorsqu’on l’ouvre. Musicalement, ça permet de découvrir, quelques traits de guitare intéressants de Harvey Mandel ou de Wayne Perkins, notamment, testé pour remplacer Mick Taylor.
D’autant que la collection « l’âge d’or » fait doublon avec les albums originaux. Mais dans ce cas précis, même pressage pourri, c’était toujours mieux que la galette rincée que j’avais. Par contre, il faut reconnaître en effet que le travail éditorial était de qualité. Il m’arrive de trouver des disques de cette collection. Quand le prix est raisonnable (et le vendeur aussi), je peux me laisser tenter.
En même temps, pas simple avec les Stones, entre les éditions US, Française et UK, et les tracks list différentes…