Un Sergent Poivre…

Samedi soir, je me décide à partir chiner sur un vide-greniers de soirée. Et je rentre bredouille. Pas un seul disque vraiment potable à rapporter.

Le lendemain, dimanche, je tente quand même le coup. C’est un peu un coup de poker, parce que les seuls vide-greniers à proximité sont des vide-greniers récurrents. À savoir qu’ils se tiennent tous les dimanches, et que en général ils sont peu fournis. Allez, en moyenne une dizaine de stands, et assez souvent les mêmes vendeurs, les mêmes bacs… Donc, 3 vide-greniers ce matin. On va vite passer sur les numéros 2 et 3, totalement stériles. Et revenir sur le premier [petite histoire – ce fut il y a quelques années un très gros vide-greniers, avec parfois jusqu’à 200, voire plus, stands. Jusqu’au jour ou les organisateurs ont eu l’idée saugrenue de faire payer l’entrée aux visiteurs. Autant dire que ce fut un effondrement spectaculaire. Beaucoup moins de « clients », de moins en moins de stands. Et depuis, malgré l’arrêt de l’entrée payante, le vide-greniers végète lamentablement, avec au grand maximum une dizaine de stands].

Donc, ce matin, premier arrêt, au cas où… 10 stands, ça commence mal… Et sur le dernier seulement, une pile de disques, quatre 45T et six 33T… Et je suis reparti avec les quatre 45T et un 33T.

Déjà, je n’avais pas le St Peppers… Bien sur je l’avais vu plusieurs fois en vide-greniers, mais c’est la première fois qu’il est complet, c’est à dire avec l’insert dans la pochette. Et comme le disque est aussi en bon état, cette fois, pas d’hésitation. Quant aux 45T, même si habituellement je ne cherche pas spécialement à en acheter, je ne pouvais décemment pas passer à côté – éditions originales françaises (pour au moins 3) et donc pas courantes, pour ne pas dire rares. Comme quoi même un vide-greniers « miteux » peut encore réserver des surprises, des bonnes surprises. Les deux autres ont, par contre, été sans surprises aucune et donc totalement décevants.

Parti à 7h ce matin, rentré à 8h30, la matinée peut se poursuivre en musique…

Un extrait du 45T, avec le titre When i get home (en mono en plus).