Vous avez dit classique ?
Une petite curiosité. Le London Symphony Orchestra rencontre en 1982 le monde de la pop et de la soul, David Bowie et Stevie Wonder. Et ça donne des ovnis musicaux ! Des trucs pas mal fichus, parce que vraiment réinterprétés et d’autres trop sages et même un peu kitch. Mais en tout cas, ça reste amusant.
Alors, je pourrais vous mettre Space Oddity, Lucy In The Sky With Diamonds, mais ça serait trop facile.
Alors, l’énigme : reconnaissez vous ce titre ?
Un cadeau au premier qui me donne la réponse.
Le LSO, ils aiment bien croiser les répertoires : il ont aussi enregistré tout un album consacré à des « tubes » des Rolling Stones, que j’ai en stock… Cela étant, ce n’est pas terrible : un riff de guitare en open tuning, ça ne donne pas grand-chose joué par un orchestre classique…
Plus globalement, c’est en écoutant ce type de disques qu’on se rend compte de l’importance des arrangement,s, qui permettent d’apporter de la substance aux chansons retenues, parce que sinon, le matériau manque un peu de densité pour supporter un tel traitement.
Globalement je suis plutôt d’accord. C’est le seul vinyle que j’ai de ce genre (je l’ai déniché pour 3€, et ça devait être lors de mes premières incursions dans le monde des chercheurs de vinyles). Je me demande si je n’ai pas aussi un CD du LSO pour du Pink Floyd, mais j’ai la flemme de chercher 🙂
C’est sympa à écouter, mais sans plus ! Il y a du bon, et du très moyen en effet.
Alors, pour préciser l’origine de Whole Lotta Love, Led Zeppelin s’est largement inspiré d’un blues de Willie Dixon (You need love) notamment pour le texte !
Bravo, c’est bien ça ! Bon, je ne sais pas si Led Zep a piqué les notes à quelqu’un par contre !
Whole lotta love, que Led Zeppelin a piqué à je ne sais plus qui…
J’ai bien peur que ça ne soit pas ça ! 😉
American Woman, génial ! 😀