Blabla sur pochettes.

Le plaisir ou le déplaisir des albums vinyles d’occasion, c’est parfois le vécu et le parcours de ces albums. Et la graffitis des anciens propriétaires qui peuvent aller du plus « intéressants » aux plus débiles. Mais parfois, il y en a qui peuvent être pertinents et même pas hors sujet. Après on peu ne pas être d’accord, mais c’est le charme des avis même péremptoires. Et puis, il y a la question importante : « je garde ou (j’essaye) j’efface ? ». Ici sur un beau pressage US de 1966 sur Blue Note d’un album d’Art Blakey, son ancien propriétaire à émis une critique musicale très affirmée. Je ne vous dirais pas si je suis d’accord.

4 commentaires sur “Blabla sur pochettes.

    1. Déjà, je ne vais pas effacer, c’est l’histoire de cet album et de son ancien propriétaire, donc, ça se conserve. Et puis c’est discret et ça ne défigure pas la pochette.

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