Dans la pile des disques.

Il y a un paquet d’albums en attente d’écoute. Ils sont posés sur mon bureau, juste à coté de l’ordinateur. Et il y en a pour tous les goûts.

• Stan Getz – Children of the wordl
• Gary Glitter – Glitter
• The Dice – The Dice
• Alice Coltrane & Carlos Santana – Illuminations
• Gilbert Laffaille – Live in Chatou
  • Et puis, ceux qu’il me faut approfondir
• John Kongos – Kongos
• Henry Cow – Leg End
• Dead Kennedys – Plastic Surgery Disassters
• Steve Reich – Remixed
  • Sans compter ceux que je dois ranger et classer
• The Housemartins – The People who grinnned themselves to death
• The Pale Fountains – pacific street
• Chris Bailey – Casablanca

Bref, ça fait un bon paquet ! Une bonne pile. Et le pire, en attendant, j’en ai sorti un autre des rayonnages, et il passe à l’instant même. La pochette est en dessous. Le Bembeya Jazz National et l’album Parade Africaine. Du jazz de Guinée, nonchalant, dansant, swinguant et réjouissant. Ça ramène le soleil.