Sur la platine, un petit Bilan !
Trop de disques à écouter !
Entre le lot (32 disques) déniché à Venelles il y a quelques jours, et deux autres albums arrivés dans ma vinylethèque ensuite, une rapide revue des disques écoutés s’impose. Je n’ai pas encore tout écouté, mais à noter que 7 d’entre-elles ne le seront sans doute jamais.
Sinon, j’ai donc posé sur la platine :
- Chemirani – improvisations sur le zarb ! Album magistral d’un musicien lui même magistral.
- Bendamache Abdelkader – musique andalouse. Bel album de musique arabe-andalouse.
- Jacques Loussier Trio – Play Bach. 3 albums pour une jolie transcription de Bach en trio Jazz !
- Bleizi Ruz. Breton, sympa, folk, bon moment à d’écoute.
- Canta U Populu Corsu. C’est Corse, c’est un album classique d’un groupe de référence de la musique Corse. Moins mainstream que I Muvrini certes, mais plutôt bon. Et comme ce sont mes racines, j’ai un petit ressenti favorable.
- Faton Bloom. Du bon jazz fusion, mais qui manque peut-être un peu de folie. Pourtant avec Didier Malherbe, ancien de Gong et François Cahen, venu de Magma, j’avais espéré plus de force. Un disque agréable.
- Guy Tudy – guitare celtique. Un bon guitariste, mais je me suis ennuyé, et n’ai pas dépassé la face A de l’album.
- Tam Tam pour l’Éthiopie. Des musiciens du continent Africain prestigieux pour un album caritatif. Mais le résultat n’est pas à la hauteur. Dommage.
Bref encore 16 en attente ! Je passe sur l’album du trio de guitares virtuoses, j’en ai fait un petit billet ci-dessous :
Petit passage à la ressourcerie et histoire de ne pas rentrer bredouille, Franz Liszt – Missa Solennis. Bon, comment dire, me suis bien ennuyé ! Je suis allé au bout de la messe, mais elle ne restera pas dans les meilleures écoutes de la semaine écoulée.
Et puis, j’ai enfin reçu le cinquième album édité par le label Vapeur Mauve Production.
Lors d’un article qui un peu, j’avais montré une fort belle image du deuxième album édité par le Label.
Et c’est donc une suite. Il y avait d’autres beaux titres et Vapeur Mauve ne pouvait sans doute pas les laisser au fond du tiroir. Et l’album est une réussite. La pochette, dans un genre très différent, il parait que Jimmer Glynn n’avait pas trop aimé la première, un noir et blanc et un design sobre et classique, et les 10 titres de l’album sont tous dans cette belle veine folk psychédélique. Une réussite totale ! Il a déjà tourné deux fois sur la platine depuis sont arrivée dans ma boite aux lettres.
PS : je me bats encore avec cette putain de connexion de marde ! Et je vous le dis, le jour où je déménage d’ici, SFR va gicler fissa ! Ras le bol ! Je vois le réseau Free de mon voisin et cette putain de box SFR passe son temps à me délivrer une connexion d’escargot, sans compter les coupures intempestives. Tiens il y a deux ou trois jours :
La messe de Liszt essaie pourtant d’accéder à la sérénité, par des biais un peu austères, certes, et dans un cadre formel très contraint -normal pour une messe 😉 – ! C’est une oeuvre assez tardive dans la production du compositeur, et forcément éloignée du brio de sa jeunesse, mais un souffle romantique règne encore sur cette austérité…
Tu devrais essayer de la réécouter dimanche prochain, entre 10 et 11 heures ! 😀
Cela étant, l’écoute d’une messe, de quelque compositeur que ce soit, est toujours un peu austère, ce n’est pas vraiment fait pour être écouté d’une traite et déconnecté du culte qui devrait l’accompagner… En revanche, pour réviser son latin, c’est réjouissant, et pour entendre le latin de cuisine en vigueur dans l’immense majorité des choeurs religieux, c’est hilarant 😀 !!!
Je ferais une seconde tentative dans quelques temps ! 😉