Il pleut, il pleut, c’est la fête à la grenouille !

Tout est presque dit, le programme de chine de ce matin a été bien évidement annulé. Donc pas de nouvelles trouvailles en vide-greniers à vous présenter. Et comme c’est une période de mélancolie pour moi, ce mois d’octobre, les envies musicales sont très souvent à l’aune de cet état d’esprit.

Pourtant, j’aurais de quoi faire, ranger, nettoyer, classer, écouter (encore une petite dizaine de disques en attente sur mon bureau). Dans 10 jours, un an de moins que l’an prochain, chaque année c’est la même histoire, un peu de vague à l’âme, avant de repartir pour une nouvelle année. Mais au fond de moi, au fond de nous (avec ce qui est arrivé à Laurette dimanche dernier), il semble que l’on soit arrivé au bout d’un cycle, avec de plus en plus l’envie d’autre chose. Pas toujours simple.

J’ai quand même écouté hier le sublime album de Nick Drake, mélancolique. Je vais sans doute poser à un moment de la journée un Townes Van Zandt sur la platine. Un Keith Jarrett/Jack Dejohnette à tourné aussi hier, plaisir gâché par un début de disque endommagé par des « blessures invisibles » à l’œil nu en début de disque, l’album de U2 de dimanche dernier lui est passé comme une lettre à la poste, du U2 tout simplement.

Bon, je vous laisse, le Miossec est fini.