Un épilogue d’une récolte !
Moins impressionnante que la semaine dernière.
Pour tout vous dire, je suis retourné à la Ressourcerie mardi matin ! Il restait quelques disques que je n’avais pas encore ramené dans ma besace : deux albums d’Herbie Hancock (dont une compilation), un second album de Gato Barbieri, une compilation de Thelonious Monk entre autre ! Hé ben ce que je redoutais s’est produit ! Quelqu’un est passé sans doute samedi après-midi et bien évidement n’a pas laissé passer cette opportunité ! Tant pis, on ne gagne pas à tous les coups ! Mais j’ai quand même engrangé encore 6 galettes sympathiques à défaut d’être hors norme !
Le Alan Stivell est un excellent disque, le Alain Souchon est peu fréquent et rien que pour la chanson Ballade de Jim, il vaut une oreille attentive ! François Béranger me rappelle mes jeunes années, et un concert dans les années 1978/1979, avec, comme sur cet album, un guitariste plutôt bon en la personne de Jean-Pierre Alarcen. Et question guitare, celle, baroque de John Williams promet un moment agréable (j’y reviendrais certainement plus en détail) ! Bon, les deux disques de musique mexicaine, on va dire que c’était histoire d’alourdir la besace ! Mine de rien, c’est quand même 24 albums dénichés entre vendredi et samedi matin.
Très jolie, la « Balade de Jim », c’est bien vrai ! Me souviens de l’avoir découverte en vacances à Angers, et ça ne me rajeunit pas du tout !
Il y a des petites madeleines comme ça ! 🙂
Même si je ne suis plus aussi jeune qu’à cette époque, je n’ai pas encore perdu complètement la mémoire : elle ne s’appelait pas Madeleine, ça, j’en suis sûr 😀 !!! Mais, comme dans la chanson, plus tard, j’ai choisi l’infirmière 😉 !
😀
Je l’aime bien cet Alan Stivell, il fait partie des premiers que j’avais récupérés.
Le Souchon que je préfère, c’est un des premiers ‘jamais content’ que j’avais eu à sa sortie et que j’écoutais en boucle, et puis perdu comme les autres, et je l’ai retrouvé il y a peu de temps.
Bon, je comptais passer à la Ressourcerie mais il ne doit pas rester grand chose, sauf si tu as laissé des trucs que tu avais déjà….
Ah, sauf si il y a eu des disques ajoutés entre mardi matin et aujourd’hui, il ne reste plus grand chose de passionnant ! D’ailleurs ce mardi matin, alors que j’étais en train de fouiller le bac et de désoler de m’être fait souffler les disques de Jazz (voir dans l’article), j’ai vu arriver un collègue chineur (et revendeur aussi). Et il n’a pris qu’un album de Polnareff (mais qu’on trouve facilement). L’intérêt de la Ressourcerie, c’est le prix (24 disques, pour 24 euros, c’est pas mal) !