un petit Sun Ra sur la platine et une bouteille de rosé
Pour tout dire, pas grand chose de neuf dans mes trouvailles de vinyles. Il faut dire que ce week-end de Pâques n’a pas été très chargé en vide-greniers. Dimanche, un aller/retour à Montpellier pour passer la journée avec Robin. Ça faisait un moment que nous n’avions pas été tous les quatre, Laurette, Marion, Robin et moi, ensemble, en famille pour partager, nous raconter et manger ensemble au restaurant. Même Marion a trempé ses lèvres dans un verre de rosé, elle qui ne boit pas du tout d’alcool (bon, juste trempée).
Alors question disques, rien de neuf depuis le dimanche 14 avril. Enfin, si justement, un disque neuf. J’ai fait un tour chez mon disquaire Aixois (le seul vrai disquaire). Et j’ai fouillé dans les bacs de Jazz uniquement ce jour là ! Il se trouve que depuis quelques temps, je ré-explore le rayon jazz de ma vinylethèque, et que donc, j’ai envie bien sur de l’agrandir. Même si paradoxalement, je redécouvre certains albums que j’avais peu écoutés et d’autres qui sont incontournables. Bref, j’ai sorti des bacs, après 3 fouilles des 4 bacs bien garnis, un album de Sun Ra. Je vous laisse le soin de parcourir sa fiche wikipedia. Musicien prolifique, toujours inventif, parfois perché, parfois trop. Mais l’album The Nubians of Plutonia enregistré en 1958/59 et publié en 1966, est lui, un album à la fois accessible et très en avance sur son époque. Mélange de Jazz, de free-jazz et de sons tribaux bien avant la mode de la « world music » !